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Farewell to Filmmaker Michael Cacoyannis

Internationally acclaimed film director, screenwriter and producer Michael Cacoyannis died yesterday, at 89.
The director of the award-winning films Zorba the Greek and Stella, Michael Cacoyannis was nominated five times for an Academy Award (Oscar), receiving the Best Director, Best Adapted Screenplay and Best Film nominations for Zorba the Greek and two nominations in the Foreign Language Film category for Electra and Iphigenia.
Most of his work is rooted in classical texts, particularly those of the Greek tragedian Euripides.
A pioneer of post-war Greek cinema and director of international hits, Cacoyannis refused a career in Hollywood, opting for ‘quality’ theater. In 2003, he founded the Michael Cacoyannis Foundation for the study and support of the film and theater arts.
You Tube: Awarded films: Stella (1954) with English subtitles & Zorba the Greek (1964) & The girl in black (1956) [VIDEO
(GREEK NEWS AGENDA)

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Papandreou in “Le Monde”

French daily “Le Monde” portrays George Papandreou in an article (‘L’ homme qui fait trembler l’euro’, February 5) describing Greece’s current affairs and Papandreou’s personal and political career over the years:
“Le monde le regarde. Le destin de l’euro tient à lui. Elu depuis tout juste quatre mois, le premier ministre grec est le point de mire des dirigeants et des marchés de la planète, pressé de questions affolées sur la situation dont il a hérité : un pays au bord de la faillite, discrédité sur les marchés, exposé à la spéculation, étranglé par une dette et un déficit public colossaux, un Etat dysfonctionnel, un système de fraude généralisé.
Le raffinement est son arme. Costume bleu marine, chemise blanche, cravate délicatement violette, Georges Papandréou a la silhouette longue et distinguée, la moustache taillée au millimètre, la politesse souriante, l’anglais parfait du brillant élève passé par Harvard et la London School of Economics, la graisse évanouie dans des heures quotidiennes de fitness et de cyclisme à haute dose. Si peu balkanique, si différent.
Devenir premier ministre n’était pas sa vocation, lui qui, à la fin des années 1960, étudiait la sociologie aux Etats-Unis et manifestait, cheveux longs et guitare rock en bandoulière, contre la guerre du Vietnam. “Si la Grèce avait été à l’époque un pays normal, dit-il dans son bureau à Athènes, je ne serais pas entré en politique.”
Son nom a fini par le rattraper. Celui de son grand-père, Georges Papandréou, trois fois premier ministre, centriste, figure mythique de la politique des années 1960. Celui de son père, Andréas Papandréou, ministre et économiste renommé, fondateur du Pasok (parti socialiste grec), et premier ministre dans les années 1980. Quant à lui, ce rêveur affable et modeste que l’on appellera longtemps Yorgakis (petit Georges), personne n’imaginait qu’il dirigerait le pays à son tour, dernier-né de l’une des trois dynasties familiales qui, avec les Caramanlis et les Mitsotakis, se partagent le pouvoir en Grèce depuis l’après-guerre.
Il a 14 ans ce 21 avril 1967. Le coup d’Etat des colonels, prélude à la dictature qui durera sept ans, vient d’avoir lieu. Les militaires viennent chercher son père, Andréas, caché sur le toit de la maison. L’un d’eux lui colle sa mitraillette sur la tempe. “Où est-il ?” L’enfant ne répond pas. La mitraillette frémit. Andréas se rend. Pour lui, c’est la prison. Puis, pour toute la famille, l’exil.
Georges Papandréou vient d’ailleurs. Avant la guerre, son père Andréas, déjà forcé à quitter la Grèce pour des raisons liées à ses activités trotskistes, était devenu citoyen américain, avait enseigné l’économie à l’université de Berkeley, puis en Suède et au Canada. Georges a une mère américaine, est né au Minnesota, a grandi en Californie et étudié dans l’Illinois, à Londres, à Stockholm. Il parle à quasi-égalité l’anglais, le grec et le suédois.
A son retour en Grèce, en 1974, la dictature abolie, il découvre un pays où tout est à réinventer. Et une élite forcée comme lui à l’exil, revenue “avec des idées nouvelles, la capacité de comparer, de tirer réflexion des contrastes.”
Etre différent, c’est son atout. “L’étranger” est un drôle de zèbre, mélange de “libéral” à l’américaine et de social-démocrate suédois, défenseur des libertés individuelles, de l’Etat-providence, de l’environnement, du progrès technique. Théodoros Pangalos, vice-premier ministre, s’amuse à rappeler ces années 1990 où Georges était ministre dans le gouvernement de son père, Andréas Papandréou : “En réunion, Georges prenait des notes sur un ordinateur portable. Nous, nous avions nos feuilles et nos crayons. On se donnait des coups de coude : “Regarde, le petit Georges joue, il n’a toujours pas grandi !”. En fait, comme toujours, il avait plusieurs longueurs d’avance…”
Au sein de la dynastie Papandréou aussi, il fait la différence. Après Georges “l’ancien”, le centriste anticommuniste, après Andréas le tempétueux tribun socialiste aux accents nationalistes, Yorgakis, président de l’Internationale socialiste depuis 2006, conquiert les Grecs par un agenda progressiste inhabituel. Il est hostile au blairisme, croit en la primauté de la politique sur le marché, préconise une société ouverte et multiculturelle, une économie tournée vers la valeur ajoutée et la croissance verte. “Je suis fier de porter mon nom mais je gouvernerai à ma façon. Comme Sinatra, je pourrai dire : “I did it my way”.”
Son style politique, il l’a déjà esquissé. Ministre de l’éducation, en 1988, il s’affronte au conservatisme ambiant et à la puissance de l’Eglise orthodoxe en défendant les droits des homosexuels. Ministre des affaires étrangères très estimé, en 1999, il milite en faveur de l’Europe et tempère l’anti-américanisme, sport national en Grèce. Il établit des conditions de dialogue avec la soeur ennemie, la Turquie, soutient la candidature de celle-ci à l’Union européenne (UE), contribue à l’intégration de Chypre dans l’UE.
“Yorgakis sait écouter, il ne fait pas l’intelligent, il prend calmement des décisions audacieuses. Il nous change de ce théâtre balkanique dont nous sommes tous fatigués”, témoigne l’un de ses anciens collègues au gouvernement, Nikos Dimadis. “La Grèce a plus que jamais besoin d’un dirigeant différent, citoyen du monde, qui a sur son pays une pensée globale”, analyse l’éditorialiste de centre droit, Georges Kirtsos.
Depuis quatre mois, Georges Papandréou est parti en guerre contre un Etat pléthorique, contre la corruption et l’économie parallèle. La droite l’accuse déjà d’immobilisme. Des mouvements sociaux se préparent contre les mesures d’austérité annoncées.
Certains le craignent plus visionnaire que pragmatique, plus théoricien que politique. Mais la Grèce n’a plus le choix, la zone euro non plus. Le petit Georges est peut-être la dernière chance. Lui-même en a fait un slogan : “Nous devons changer, ou sombrer.””
(
LeMonde.fr)

The destiny of Greek Tourism

» Expected Recovery

(GREEK NEWS AGENDA) According to a survey conducted by the Academy of Tourism Research and Studies, Greek tourism will recover this year, with tourist arrivals expected to rise by 8.6%, compared to 2009.
The report by ATEM predicts that foreign tourists visiting Greece will reach 15.5 million in 2010, on condition that there is an upturn in world’s economy.

Greek National Tourism Organisation: www.gnto.gr

» Alternative Tourism

Exploring caves, rafting and trekking is just a small part of the activities offered to tourists who do not like crowded vacation destinations and choose alternative tourism.
More examples include medical tourism – which started in Ancient Greece – as well conference and wedding tourism (accommodations, transport, beauty treatments, flower arrangements, and much more).
A conference titled “New Trends in Tourism: benefits & prospects for women,” organised by the Thessaloniki Organisation for Women’s Employment & Resources (TOWER), aims at presenting and discussing various new trends in tourism. Topics to be explored include eco / agro-tourism, health & wellness tourism, and raising awareness about career opportunities available for women in tourism.
See also Greek News Agenda: Alternative Tourism